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n’est pas content et il le dit clairement. Poussé vers la sortie par l’OM en début de saison, puis désormais retenu, le joueur se dit “prêt à mettre (sa) carrière entre parenthè ses” si Marseille persiste à son départ vers Newcastle, selon des propos parus dimanche dans L’Equipe. “C’est parce que mes dirigeants se foutent de ma gueule qu’aujourd’hui je annonce que je suis prêt à ma carrière entre parenthèses s’ils n’acceptent pas la proposition de Newcastle comme c’était prévu au départ”, explique le buteur de -France (2-1) en amical avec les Bleus, mercredi. “Je ne retournerai chaussure nike air max pas à la Commanderie (le d’entra?nement de l’OM). C’est fini. Je suis prêt à ne pas de la saison. J’ai ma fierté, ma dignité. Je ne suis pas un bouche-trou. Je ne suis pas un paquet de lessive. Je ne suis pas de la merde (…) Je suis prêt au pire. Je m’organiserai pour physiquement.”, poursuit-il. Ben Arfa égratigne la plupart des responsables de l’OM, sauf le directeur sportif José Anigo qui “a des valeurs, dans les bons ou les mauvais moments, il n’a jamais changé”. Pour le joueur, le président de l’OM “a du mal à nike air max tr1 : j’ai ressenti quelqu’un de fermé.” “Tout a été mal géré”, poursuit le joueur. “Dans une situation comme celle de l’OM, c’est important d’ un président fort. (…) Les vrais hommes, c’est dans ces moments-là qu’on les voit, pas quand tout va bien, après un titre”. “UN PROBL?ME DE CONFIANCE” AVEC DESCHAMPS Avec l’entra?neur , Ben Arfa explique que “le courant ne passe pas: quand il me parle j’ai toujours l’impression qu’il a une idée derrière la tête”. “Le coach peut me ce qu’il veut. J’étais indésirable il y a trois semaines et je suis indispensable maintenant nike air max 89 ? Je ne suis pas une marionnette. A lui d’ ce grand écart. je n’ai plus envie de avec le coach. C’est un problème de confiance.” Dans le contexte actuel du fran?ais, la sortie de Ben Arfa risque d’être associée à l’épisode tragi-comique de la grève des Bleus à Knysna. Mais selon Ben Arfa, son bras de fer n’a “rien à voir” avec la mutinerie du Mondial. Et sur la question des caprices de joueurs surpayés, il explique qu’”aucun joueur n’a jamais mis un pistolet sur la tête de son président pour autant d’argent. Eux ils gagnent nike trainer 1 max beaucoup gr?ce à nous. Ce n’est pas parce que nous sommes payés que nous sommes des esclaves. En gros, ce serait : “On te paye, donc ferme ta gueule” ?” Le joueur a refusé de s’entra?ner jeudi et vendredi et n’a pas pris l’avion pour Valenciennes, où Marseille s’est incliné 3 à 2 ce samedi en L1. Prié de ses valises depuis plusieurs semaines par les dirigeants marseillais, Ben Arfa s’était mis d’accord avec le club de Newcastle. Mais a changé la donne pour le staff olympien, qui souhaite désormais le fantasque attaquant au sein de son effectif. 04.023.2013